Points saillants
- La Banque du Canada pourrait adopter une approche de réduction des taux plus musclée si l’inflation se maintient sous les 2 %, et potentiellement abaisser le taux directeur à 2,00 % ou même moins d’ici 2025.
- Nous tablons sur une réduction de 50 points de base à la réunion de la BdC de décembre et anticipons que la Fed réduira les taux de 25 points de base à chacune de ses trois prochaines réunions.
- En raison de la forte volatilité et de l’incertitude électorale, nous privilégions une approche neutre pour la duration et favorisons les obligations de sociétés à faible bêta pour la portion à court terme de la courbe des taux.
- Le retour de Donald Trump à la présidence en 2025 a causé de l’agitation sur les marchés, et ses politiques qui vont dans tous les sens pourraient même causer des pressions inflationnistes en raison des hausses de salaire et des changements fiscaux proposés. C’est d’ailleurs ce qui explique notre préférence pour les obligations indexées sur l’inflation par rapport aux titres nominaux.
- Le risque lié aux marchés émergents a été réduit au Brésil et au Mexique, et nous avons commencé à investir en Indonésie.
Opinions de l’Équipe des placements à revenu fixe
Suivi des banques centrales
Réserve fédérale américaine (Fed)
Les taux ont augmenté durant le mois dans un contexte marqué par une diminution des préoccupations à l’égard du marché du travail et la robustesse des dépenses de consommation. Les emplois non agricoles (nombre d’employés sur les listes de paie) ont surpris par leur vigueur et dépassé la prévision consensuelle avec un gain de 254 000 en septembre. L’inflation globale a continué de diminuer pour s’établir à 2,4 % en septembre, mais on peut penser que l’IPC ne devrait plus provoquer autant de volatilité que par le passé. Bien que la probabilité réduite de récession ait soutenu les actifs risqués, les données américaines plus robustes ont incité les marchés qui escomptent de plus en plus le scénario « pas d’atterrissage » à revoir à la baisse leurs prévisions de réduction des taux par la Fed, ce qui a accentué la volatilité sur le marché des obligations du Trésor.
Banque du Canada (BdC)
Les taux obligataires canadiens ont augmenté durant le mois, comme dans la plupart des autres pays développés. Bien que le taux de chômage soit resté élevé à 6,5 %, les bons du Trésor ont célébré la baisse surprise de l’inflation globale à 1,6 % en septembre, un résultat attribuable à la diminution des prix de l’essence et des transports publics. La BdC a répondu aux attentes du marché en commandant une baisse substantielle de 50 pdb du taux directeur, justifiée par le retour de l’inflation dans la fourchette cible et la croissance léthargique. Nous estimons que la BdC a de bonnes raisons de vouloir revenir vers des taux d’intérêt neutres, mais l’élargissement de l’écart de taux avec les États-Unis pourrait faire très mal au huard.
Banque centrale européenne (BCE)
Conformément aux attentes, la BCE a réduit son taux directeur de 0,25 % pour le fixer à 3,25 %, rassurée par le processus déflationniste en cours. Les économistes s’attendent maintenant à des baisses à chacune des réunions de la BCE jusqu’en mars, puis sur une base trimestrielle par la suite. Publié quelques heures seulement avant la réunion de la BCE, le taux d’inflation dans la zone euro a ralenti à 1,7 %, un résultat inférieur aux prévisions. Pendant que les commentaires de la Fed provoquent un recalibrage des prévisions de baisse du taux directeur et que la BCE accélère le rythme des réductions, l’élargissement de l’écart de taux risque de peser sur l’euro.
Banque du Japon (BdJ)
Comme beaucoup de participants au marché s’y attendaient, la BdJ a laissé son taux directeur inchangé à 0,25 %, tout en restant convaincue d’être en bonne voie d’atteindre sa cible d’inflation. La BdJ a aussi mentionné que l’augmentation des salaires nominaux était un signe de confiance accrue à l’égard d’un cercle vertueux d’inflation des salaires menant à une croissance durable des prix. Le yen s’est apprécié d’un point entier de pourcentage par rapport au dollar américain après les commentaires du gouverneur de la BdJ, Kazuo Ueda. Il a néanmoins perdu près de 6 % par rapport au billet vert en octobre, la deuxième pire performance parmi les monnaies des pays du G10. Cette tendance à la baisse de la monnaie nationale devrait dicter le moment de la prochaine décision sur les taux de la BdJ, puisqu’un nouveau recul pourrait augmenter les pressions inflationnistes sur les ménages, qui peinent déjà à faire face à l’augmentation du coût de la vie.
Marchés émergents (MÉ)
La volatilité et les tensions financières se sont accentuées dans les MÉ ces dernières semaines, alors que les probabilités implicites d’un retour de Trump à la présidence augmentaient. Les éventuels tarifs commerciaux d’une administration Trump nuiraient aux actifs risqués des MÉ, et l’effet serait amplifié par le raffermissement récent du dollar américain et les taux plus élevés. La hausse des prix de l’électricité et des aliments provoquée par la sécheresse a fait monter l’inflation globale à 4,42 % au Brésil en septembre, renforçant les prévisions du marché d’un relèvement des taux de 0,50 % à la réunion de novembre. En Afrique du Sud, l’inflation s’est établie à 3,8 % en septembre, passant sous la barre des 4 % pour la première fois en plus de trois ans, grâce à la baisse des prix des aliments et du carburant. Le retour de l’inflation dans le bas de la fourchette cible de 3 % à 6 % de la banque centrale devrait convaincre ses dirigeants de procéder à une deuxième baisse consécutive en novembre. Les choses semblent s’améliorer également en Indonésie où le taux d’inflation s’est établi à 1,71 %, près de la limite inférieure de la fourchette cible de 1,5 % à 3,5 %. Nous nous attendons à une réduction progressive des taux directeurs, toutefois la réaction de la roupie indonésienne à l’élection américaine et à la décision sur les taux de la Réserve fédérale pourrait accélérer le processus. L’inflation annuelle au Mexique a ralenti plus que prévu pour s’établir à 4,58 % en septembre, ce qui laisse entrevoir une troisième baisse des taux d’intérêt de suite à la prochaine réunion de la banque centrale.
Duration et positionnement sur la courbe
À notre avis, il y a de bonnes chances que la BdC adopte une approche de réduction des taux plus musclée si l’inflation se maintient sous les 2 %. La forte baisse de l’inflation a mis en lumière les vulnérabilités de l’économie canadienne, poussant la BdC à envisager des réductions de taux plus rapides et plus substantielles pour soutenir la croissance économique. La banque sous-estime peut-être les difficultés économiques éventuelles et elle pourrait devoir adopter des mesures plus drastiques que celles envisagées actuellement, en abaissant potentiellement le taux directeur à 2,00 % ou même moins d’ici 2025. Le retour de Donald Trump à la présidence en 2025 a attisé les marchés et le discours politique. La victoire décisive de Trump, qui a remporté la présidence, le sénat et probablement la chambre des représentants, témoigne de son approche peu orthodoxe, mais efficace de la gouvernance. Toutefois, ses politiques vont dans tous les sens, et les éventuelles pressions inflationnistes causées par les hausses de salaire et les changements fiscaux pourraient s’opposer aux appels à la réduction du déficit. Nous estimons que le marché sous-estime la décision sur les taux de la BdC à sa réunion de décembre. Nous tablons sur une réduction de 50 points de base et anticipons que la Fed réduira les taux de 25 points de base à chacune de ses trois prochaines réunions. Notre approche prudente à l’égard de la duration est justifiée par la volatilité élevée et l’incertitude entourant l’élection. Cette prudence en matière de duration et notre préférence pour les obligations de sociétés à faible bêta ont eu un effet positif sur le rendement. Nous avons réduit le risque lié aux marchés émergents au Brésil et au Mexique en abaissant substantiellement nos positions. Nous avons commencé à investir en Indonésie, un pays qui devrait profiter de l’activité économique de la Chine et où les perspectives d’inflation sont favorables. Alors que les taux obligataires montent et que la volatilité plane à l’horizon, les prochains mois seront déterminants pour réévaluer les stratégies économiques et apprendre à composer avec le nouveau paysage politique.
Obligations de sociétés de première qualité
Les obligations de sociétés canadiennes de première qualité ont inscrit un rendement de -0,41 %, une performance nettement supérieure à celle de leur contrepartie américaine dont le rendement a été de -2,25 %. Les rendements négatifs s’expliquent principalement par la duration influencée par le recalibrage des attentes relatives au taux directeur. Les taux ont augmenté de 0,13 % au Canada et de 0,40 % aux États-Unis, et les écarts de taux restent élevés. Nous préférons investir dans des obligations de sociétés de grande qualité (à faible bêta) se situant dans l’extrémité à court terme de la courbe. Dans ce segment, nous préférons la courbe canadienne à la courbe américaine. Pour notre scénario de base au Canada, nous croyons que les baisses de taux se poursuivront de sorte que le potentiel d’appréciation de ces titres demeure élevé.
Obligations à rendement élevé
L’indice des obligations américaines à rendement élevé a cédé 0,52 % en octobre, et les titres notés CCC (0,73 %) ont fait mieux que ceux notés B (-0,38 %) et BB (-0,93 %). Conformément à la thématique générale voulant que le renforcement de l’économie entraîne une réévaluation des attentes de réduction des taux, la duration a miné la performance. Les taux des obligations américaines à rendement élevé ont grimpé de 33 pdb et les écarts se sont resserrés de 20 pdb en octobre, pour s’établir à 7,42 % et 325 pdb respectivement, ce qui représente des baisses de 39 pdb et 52 pdb en cumul annuel. À noter qu’il s’agissait du premier recul mensuel pour les obligations à rendement élevé en six mois. Les secteurs des télécommunications (1,18 %) et du transport (0,14 %) ont dominé en octobre, alors que la santé (-1,19 %) et l’habitation (-1,04 %) ont déçu.
Prêts à effet de levier
Les prêts à effet de levier américains ont gagné 0,86 % en octobre, portés par les coupons (0,73 %) et une faible appréciation des prix. La forte demande des CLO et des petits investisseurs a alimenté une remontée des prix sur le marché secondaire. Vers la fin d’octobre, le taux SOFR à trois mois a baissé à environ 4,6 %, alors qu’il se situait tout juste au-dessous de 5 % durant la première moitié de septembre. Même si les taux des prêts ont maintenant retraité à la suite des réévaluations, des refinancements et de la baisse des taux en septembre, ils restent très attrayants par rapport aux normes historiques. Nous nous attendons à ce que les prêts continuent de bien faire, soutenus par les taux de base plus élevés, l’absence de risque de duration direct, la robustesse des facteurs techniques et les données fondamentales raisonnables des émetteurs.
Observations sur les obligations
Obligations de première qualité — Duration courte pour le segment à long terme de la courbe
Notre décision de privilégier une duration courte pour le segment à long terme de la courbe découle à la fois de notre vision de la transformation du paysage économique et de notre perspective sur les prévisions pour la prochaine élection aux États-Unis. Après les chiffres décevants du rapport sur les emplois non agricoles du mois d’août publiés au début du mois de septembre et les autres données anémiques, le marché avait atteint un niveau qui s’approchait d’un point extrême quant aux attentes d’assouplissement futur par la Réserve fédérale, qui ont culminé en septembre avec des prévisions de baisses de plus de 250 pdb d’ici la fin de 2025. Quant à nous, nous estimions que malgré le ralentissement du marché de l’emploi aux États-Unis et la situation plus favorable sur le front de l’inflation, compte tenu de la vigueur de l’économie américaine sous-jacente, les baisses anticipées de 250 pdb au cours des 15 prochains mois étaient exagérées et devraient être réévaluées.
De plus, il nous semblait que l’élan de Kamala Harris après le débat faiblissait et que l’ effet Trump » allait probablement recommencer à nourrir la spéculation sur le marché quant à ses chances de remporter l’élection; il ne s’agissait pas d’une prévision électorale à proprement parler, mais d’un simple constat que le marché avait trop favorisé Mme Harris et devrait se rajuster au cours des deux à quatre prochaines semaines. L’« effet Trump » qui prédisait le plus une victoire de Trump – et un possible « balayage républicain » – en termes de liquidité et de consensus était que la situation budgétaire des États-Unis allait se détériorer, obligeant le Trésor américain à émettre de nouvelles obligations ayant pour effet de faire monter les taux à long terme en raison de l’augmentation de l’offre et de la diminution de la demande. Notre stratégie pour en tirer profit était de vendre à découvert des contrats à terme sur WN, en ajoutant des placements autour de rendements équivalents, d’abord à environ 4,06 %, puis à 4,15 %, pour ensuite commencer à réaliser des bénéfices autour de 4,32 %, puis de 4,38 %.
Obligation à rendement élevé/prêt à effet de levier de New Fortress Energy
New Fortress Energy est une entreprise du secteur intermédiaire qui détient et exploite des infrastructures de GNL. Elle achète des actifs de GNL principalement à des prix fixes à long terme et les livre à ses clients sur le marché libre ou dans le cadre de contrats à long terme. Notre placement dans cet émetteur était justifié par le fait qu’environ 50 % du BAIIA était sous contrat et que la société détenait des actifs de grande valeur facilitant le transport de gaz bon marché de l’Amérique du Nord vers les marchés de Porto Rico, du Brésil, de la Jamaïque et du Mexique où le gaz se négociait au prix fort. De plus, malgré les retards de mise en service d’un important projet d’investissement, nous estimions que la société finirait par terminer le projet, ce qui améliorerait ses flux de trésorerie.
Or, les piètres résultats du deuxième trimestre, les retards dans la réalisation du projet, le surendettement et les inquiétudes causées par la nécessité de refinancer des prêts arrivant à échéance prochainement ont exercé des pressions sur les prix des obligations et des prêts à terme de la société en août et en septembre. Bien que l’effet négatif sur les prix des obligations et des prêts à terme était compréhensible compte tenu de l’incertitude, l’ampleur de la baisse nous semblait injustifiée et nous estimions que les obligations et les prêts à terme auraient dû se négocier à des prix beaucoup plus élevés selon notre analyse du marché du crédit. Au début du mois d’octobre, deux éléments importants ont accéléré la remontée des prix : l’achèvement d’une étape clé dans l’important projet d’investissement et une opération d’exercices de gestion du passif, qui a permis de prolonger des échéances à court terme. En conséquence, en octobre, l’obligation de NFE échéant en 2026 a gagné environ 9 points et son prêt à terme, 4 points.
Facteurs ESG – Virgin Media Bristol
La société Virgin Media O2 a été fondée en 2021 à la suite de la fusion entre le câblodistributeur Virgin Media et l’opérateur de téléphonie mobile O2 UK. Le groupe est détenu à parts égales par Liberty Global et Telefonica. Ses revenus globaux sont répartis comme suit : téléphonie mobile, 53 %; téléphonie filaire, 36 %; autres activités, 11 %. Les résultats d’exploitation de VMEOD2 ont bien résisté au dernier trimestre, à la faveur d’une baisse moins marquée que prévu du BAIIA, soutenu par les résultats solides du service fixe, notamment une hausse de 2,2 % du revenu moyen par utilisateur sur 12 mois et l’ajout net de 15 000 abonnés. En octobre, le prêt à terme TLY lié à la durabilité en $ US de la société a pris deux points et a contribué au rendement.
Virgin Media O2 se démarque par ses pratiques ESG exemplaires et notamment ses ambitieux objectifs environnementaux et sociaux, dont la carboneutralité pour l’ensemble de sa chaîne de valeur d’ici 2040, l’autonomisation de sa clientèle permettant d’éviter des émissions de 20 millions de tonnes de CO2 et d’appuyer un vaste projet de décarbonation d’ici 2025 et le branchement d’un million de personnes exclues du numérique à la grandeur du R.-U. d’ici 2025. Selon son rapport d’étape de 2023, VMEDO2 a réduit de 23 % ses émissions de type 1 et de type 2 depuis 2022, permis à ses clients de prévenir des émissions de 29,9 Mt de carbone et connecté 106 000 personnes exclues du numérique.
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